Hier, je regardais les photos de mon voyage là bas, et tout me paraissait si loin, mais si familier aussi.
Ce voyage avait été réservé sur un coup de tête 6 mois avant le départ, et après de nombreux rebondissements plus ou moins rigolos, j'avais réussi à partir...
Même si le séjour ne s'est pas passé dans des conditions idéales, je ne garde en tête que le meilleur. Et dans chacun de mes souvenirs, le rôle principal, c'est la ville qui le tient. Rien n'aurait pu être pareil ailleurs. Je me suis sentie chez moi... bon un peu comme dans un film aussi, mais ça c'est parce que je suis une incorrigible rêveuse!
Alors puisque depuis mon retour, il ne se passe pas un mois sans que je fasse un rêve où je suis à New York (c'est mon rêve récurrent, s'il y a des analystes dans la salle...), et que cette chanson là, me serre la gorge et me fais chialer à coup sûr, c'est bien pour aller vivre là bas que je suis prête à tout plaquer... Et si ça ne marche pas, ben on y partira en vacances plus souvent! (et on tentera notre chance pour Montréal).
Pour parler de choses plus concrètes, Big L a enfin trouvé sa formation pâtissier, qui commence en janvier (le centre est fermé pour l'instant donc plus de précisions bientôt) et surtout, nous avons trouvé le moyen de la financer, attention, gros sacrifice: nous allons vendre notre, enfin, ma voiture (bye bye ma New Beetle...).
Quant à moi, je m'oriente vers une formation fleuriste par correspondance, qui si elle aboutit (reste à voir avec le Cif, ma capacité à trouver du temps de travail, et la recherche d'une boutique où faire mes stages sur mes jours de repos et vacances...) me permettra d'obtenir peut être plus facilement un visa, un travail sur place et à long terme, de voir naitre mon projet de commerce.
Je te laisse, lecteur inconnu (ouhouuuuu??!! toujours personne?), sur cette magnifique chanson qui doit être la plus utilisée sur les blogs d'expat donc...
